Déclinez votre identité, étranger...

------------------------------------------

Nom, Prénom(s) : Vaughn-Ross, Jadden.
Age : La jeune fille a vingt-trois années à son actif.
Lieu de naissance : Née à Beddgelert, Pays de Galles.
Emploi ou occupation : Travaille dans la communication et l'événement.


Votre vie semble fort captivante !

------------------------------------------

Anecdote :
« T’es bête, Jad. »
« Et toi, tu es affolant. »
« C’est mieux que la stupidité. »
« Je ne te le fais pas dire. Mais tu es affolant, quand même. »
« J’imagine que ce n’est pas un compliment. Mais je t’aime quand même. »
« J’imagine qu’être stupide est un reproche mais je t’aime tout de même. »
Sur ces mots, ils s’embrassèrent. Leurs lèvres se touchèrent et se séparèrent. Une dernière fois, avant de reproduire le même geste. Ils s’aimaient, ce n’était pas un amour de jeunesse. Ils s’aimaient vraiment. Mais Jadden le détestait de la mener en bateau, comme il le faisait si bien. Elle se rendait parfaitement compte de la manière dont il la manipulait. Mais elle n’y pouvait rien. Elle en était consciente mais elle ne pouvait pas lui résister. Il était l’homme parfait. Beau. Charmant. Charmeur. Charmé. Et moi, je ne pouvais lutter contre mon désir grandissant de l’embrasser. Une porte claqua. Je me retournai maladroitement et tombai du lit. C’était tout moi, cela. Maladroite comme personne ne l’a jamais été. La voix de ma sœur résonna dans le couloir étroit. Je poussai Elias sur le balcon et tirai les rideaux afin de cacher sa silhouette nue, dehors. Il râla quelques instants puis, comprenant la gravité de la chose, se tut, se cachant derrière un carton. Comme s’il eût une fois dans sa vie ressenti de la pudeur.
« Jad, j’ai acheté des lasagnes et comme je sais que tu adores ça, j’en ai préparé spécialement pour toi. J’espère que tu déjeunes avec moi, à midi, au moins parce-que tu travailles comme une folle et je ne te vois presque plus. Même si je sais que tes études de communication te prennent énormément de temps … »
« Je déjeune dehors. Avec des amis. Je suis navrée, Saepse mais je dois à tout prix sortir prendre l’air. C’est un besoin vital, tu comprends ? Je te revois ce soir … Pour les lasagnes ! »
Fermant la porte de ma chambre derrière moi, je laissai un sourire niais s’emparer de mes lèvres. Je fis le tour de la terrasse et lançai une pile de vêtements qui appartenait à Elias au principal intéressé. Il pleuvait à l’extérieur et je réalisai qu’il faisait vraiment froid. Et je réalisai à quel point il tenait à moi. Dans le cas inverse, il serait intervenu, nu, devant ma sœur et serait parti. Il était resté, sous la pluie et le froid. Je souris à cette idée et regagnai ma chambre, prétextant quelques affaires à terminer avant de déjeuner au bar du coin. Le temps qu’Elias daigne se vêtir de ces vêtements …
« Alors, on y va ? » marmonna-t-il, la fixant du coin de l’œil, coquet.
« Absolument ! »
Circonstances de la transformation :

e l i a s – Jadden, je suis vraiment désolé. Je … Pardonne-moi.
j a d d e n – De quoi, Elias ? Pourquoi tu m’as fait cette morsure ? Bon sang ! Ca t’amuse ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
e l i a s – Je ne voulais pas te faire mal, Jad, je suis désolé. Ecoute-moi, ce n’était pas mon intention de te faire souffrir mais je …
j a d d e n – Alors c’est ta nouvelle excuse pour ne pas aller plus loin ? Je suis navrée moi aussi, Elias.
Jadden prit sa besace en cuir et partit, faisant claquer ses talons sur le sol de marbre. Son visage était comme figé mais elle savait que son teint blanc la trahirait. Elle détestait se disputer avec Elias car, de toute façon, il arrivait tout le temps à la remettre de son côté. Il avait ce pouvoir de réconcilier les gens, grâce à des câlins ou à des regards de chien battu … Mais cette fois-ci, il ne la suivit pas. Il resta la tête plongée vers le bas, le regard rivé sur les pavés qui constituaient le sol. Des larmes perlaient aux coins des yeux de Jadden. Elle était malheureuse et elle avait mal. Sa morsure la brûlait et il lui semblait qu’elle n’eût plus de bras. Elle tenta de souffler sur celui-ci, de mettre de l’eau froide mais rien. La douleur continuait. Un sentiment de haine l’envahit. Cela n’était jamais arrivé auparavant. La nuit tombait et elle se dépêcha de marcher jusqu’à chez elle. Arrivée à son domicile, Saepse dormait déjà. Elle était étendue sur son lit à baldaquin, lit qu’elle avait gardé depuis son enfance. Jadden s’assit, quant à elle, sur le fauteuil du salon et alluma la télévision. Mais elle ne pouvait pas se calmer. Elle avait mal, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Elle ne comprenait pas. Etait-ce la nouvelle mode, de mordre sa petite-amie ? Elle lança la télécommande sur le canapé, éteignant ainsi la télévision et monta se coucher. Elle espérait que le lendemain, ses idées seraient au clair et que la douleur aurait enfin cessé.

Mais le lendemain matin, alors que Saepse venait la réveiller, Jadden se réveilla avec une haine encore plus profonde. La douleur avait diminué mais elle avait la tête lourde. Ses pieds étaient engourdis et elle ne trouvait pas la force de marcher. Elle resta finalement au lit deux jours entiers, sans aucune nouvelle de la part d’Elias. Ce n’était qu’un lâche. Il ne la méritait pas. Mais au bout du deuxième jour, elle reçut un coup de téléphone de sa part. Sa voix était tremblante et grave.
e l i a s – Jad. Comment vas-tu ? Je ne t’ai plus vu depuis des siècles et je sais que tu m’en veux … Il faudrait qu’on se voit. Je ne peux pas t’expliquer tout ça au téléphone.
j a d d e n – M’expliquer quoi, au juste, Elias ? Que tu m’as fait atrocement souffrir depuis trois jours ? Les raisons pour lesquelles tu m’as mordue ?
e l i a s – En partie, oui. Mais j’ai d’autres choses à te faire découvrir et crois-moi, tu ne seras pas déçue.

Comment réagit-il quant à sa nouvelle nature ?
Jadden prit alors son manteau et partit en direction de la forêt. C’était Elias qui l’avait conduite jusque là. Il souhaitait lui faire découvrir quelque chose. Quelque chose d’extraordinaire, selon lui. Elle ne se doutait pas de ce qu’il allait arriver. Son bras, invalide par la morsure de son petit-ami, oscillait sous le poids de son épaule. Elle arriva à l’entrée des bois. Les arbres ombrageaient toute la zone forestière et Jadden dut se faire violence pour ne pas rebrousser chemin. Non pas qu’elle eût peur de l’obscurité ou quelque chose de ce type-là mais elle n’a jamais apprécié les endroits rarement visités, sombres et surtout elle n’a jamais apprécié le ton que prenait Elias quand il lui annonça cela. Allait-il lui poser un lapin pour la faire souffrir davantage ? Que signifiait tout cela ? Elle n’en savait rien. Elle arriva devant un tronc d’arbre où elle reconnut sa silhouette. Il l’attendait, debout, pieds et torse nus. Elle arriva jusqu’à lui et le fixa pendant un long moment.
« Je suis en retard ? »
« Non, pile à l’heure. Suis-moi. Tu ne seras pas déçue. »
« Elias, où m’emmènes-tu ? Tu devais tout m’expliquer. Tu devais me dire ce qu’il en est de cette morsure. Tu as de sacrés dents … Je veux dire, j’ai toujours mal et cela fait déjà une semaine … Si tu savais comme j’aimerai remonter le temps. Mais tu sembles ne pas m’écouter. Alors, je vais continuer à parler seule, comme si ma vie était ratée. C’est peut-être de là que vient le problème. J’ai raté mon existence, c’est ça ? Et tu es envoyée pour me balancer d’un rocher pour que je ressuscite et que … »
« Jad. Tais-toi, je t’en prie. »
Je me tus. Que dire face à une telle réplique ? On se serait crus dans un téléfilm à l’eau de rose. Je pris mon mal en patience et m’exécutai. Je suivais chacun de ses pas, empruntais les mêmes chemins que lui, posais mes pieds au même endroit dont il avait posé les siens. J’étais obéissante, malgré mon fort caractère. Et je lui faisais confiance. Je n’avais pas peur. Avoir peur de quoi au juste ? Il semblait connaître son chemin par cœur, tandis que je n’avais jamais mis les pieds dans les bois. J’étais bien trop effrayée et les dernières rumeurs confirmaient ma peur. Nous arrivions à une intersection entre deux chemins. A droite un ravin sur lequel des troncs d’arbre avaient été coupés et à gauche un sentier dont je ne remarquai pas tout de suite l’existence. Derrière, une dizaine de personnes étaient présentes. Elles avaient toutes une expression figée, impassible. Ce que je remarquais également chez Elias. Je lui adressai un regard interrogateur.
« C’est gentil que tu aies voulu me faire rencontrer ta famille, Elias mais tu peux m’expliquer la raison pour laquelle tu m’as mordu … »
« Elias. Que nous as-tu ramené ? Et qu’est-ce que ce bandage autour de son bras ? »
« Va-t-elle être des nôtres, à présent ? »
« Jad. Jad, c’est moi, Evsee. Qu’est-ce que tu fais là ? Elias, que lui as-tu fait ? »
J’observais chacun des interlocuteurs. Je me tournais vers celle-ci lorsqu’Evsee prit la parole. Je lui sautai dans les bras, ignorant le regard que me portait chacune des personnes réunies ici-même. Je ne comprenais pas. Je ne comprenais rien, comme à mon habitude.
« Calmez-vous. Jadden est l’une des nôtres, à présent. C’est un loup-garou et ce soir, dès la pleine lune, elle sera transformée et elle nous rejoindra dans les bois. »
Je sentis ma tête osciller vers le bas. Ma vue se troubla. Je hurlai. Je n’étais plus moi-même. Que signifiait tout cela ? Ce devait être un rêve, un cauchemar. Ce n’était pas la réalité, non. C’était impossible. Je ne voyais plus rien, hormis du noir. J’étais sans doute évanouie. Je perdis connaissance. Ce ne pouvait pas être vrai, c’était un rêve, seulement un rêve …

Bien ! Et à part ça ?

------------------------------------------

Pseudo : Giulia, la fouineuse qui vient aider Posh
Célébrité de l'avatar : La magnifique Keira Knightley.
Commentaires ? Quel magnifique - inachevé - forum, je craque trop.

Mais on aimerait vous connaître un peu plus...

------------------------------------------

Particularités (habitudes, manies, goûts) :
- Jadden a vécu avec sa grande sœur puisque ses parents ont été placés en asile psychiatrique pour une raison qu’elle ignore mais qu’elle ne désire pas savoir. Elles ont donc toujours vécu sans la présence de leurs parents et aujourd’hui, elles continuent à cohabiter, malgré les nombreuses tensions qui règnent à leur domicile.
- Elle est maladroite et tous ses amis la nomment Clumsy. Elle ne déteste pas ce surnom, bien au contraire. Mais les gens qui assistent à ces scènes se moquent souvent d’elle. Mais après tout, Jadden a connu pire comme situation honteuse. Alors elle rit, elle aussi et on continue de l’appeler de cette manière.
- La jeune femme a une âme musicale. Elle joue du piano et de la guitare sèche. Elle participe notamment à des concerts, dans le village et joue pour le bal de fin d’année du lycée de Beddgelert. La musique est toute sa vie. Elle a commencé à jouer de la guitare à l’âge de huit ans et du piano à douze ans.
- Elle n’est pas difficile au niveau de la musique mais elle déteste par-dessus tout le rap, bien qu’elle admire les paroles. Elle trouve qu’il n’y a aucun rythme et qu’elle peut faire la même chose …
- Contrairement à de nombreux enfants, elle adore les clowns. En général, les enfants en sont effrayés. C’est le paradoxe du spectacle, en quelque sorte. Jadden, quant à elle, organise des anniversaires puisqu’elle travaille dans la communication événementielle et elle ne manque pas d’inviter des clowns …
- Elle a un chat nommé Moggy, soit minou en français. Il est assez important et ne rentre même pas dans sa cage. Oui, elle le nourrit peut-être un peu trop mais que voulez-vous faire lorsque celui-ci vous interpelle de son miaulement rauque et fort, afin que vous lui donniez à manger. Jadden s’exécute, en tout cas.
- Elle ne mange pas ses mots et, lorsqu’elle a quelque chose à dire, elle n’hésite pas à faire part de ses pensées à ses voisins et à ses amis. A vrai dire, ses voisins la considèrent comme la comère du quartier. Oui, vous pouvez le dire, c’est assez hypocrite mais Jadden est fière de ce titre. Allez savoir ce qu’il se passe dans sa tête …

Mais de rien, moi aussi je suis contente de m'être inscrite. Si je peux t'aider en quoi que ce soit, c'est sans problème - faut bien m'occuper, je suis pire qu'un gosse alors bon

La magnifique keira
Ce staff déménage dites donc

Carrément, merci

Je m'autovalide, si j'en ai la permission.