Déclinez votre identité, étranger...

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Nom, Prénom(s) : ARTHEMIS, PHOENIX WOODSEN.
Age : Il est âgé à ce jour de vingt-cinq ans.
Lieu de naissance : Arthemis est né à Beddgelert, mais sa mère a déménagé et l'avait emmené avec elle, alors qu'il avait dix ans. Il avait depuis vécu à Londres, en Angleterre, une ville qu'il adore.
Emploi ou occupation : Arthemis est un artiste dans l'âme. Il peint, il s'intéresse à la photographie, il joue de plusieurs instruments de musique. Cependant, grâce à son père, il a "hérité" du poste de propriétaire d'un restaurant à Beddgelert. Autant vous dire tout de suite que l'idée de gérer un restaurant, surtout dans ce village, ne l'enchantait guère.

On aimerait vous connaître un peu plus...

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Particularités (habitudes, manies, goûts) :

- Arthemis se dit allergique aux nouveautés musicales, surtout si vous décidez de lui parler de David Guetta ou de tous ces DJ's "tendance". Ce qu'il aime, c'est les vieux classiques qui restent indétrônables d'après lui ; Pink Floyd, Dire Straits, Pat Benatar, ZZ Top, The Rolling Stones, Scorpions, Aerosmith, The Who... et plein d'autres.
- Lorsqu'il était petit, son dessin-animé favori était les Tortues Ninjas. D'ailleurs, il avait même réussi à persuader sa mère de lui offrir une tortue pour son 6ème anniversaire, qu'il avait surnommé Donatello et à laquelle il avait en vain essayé d'apprendre les techniques des arts martiaux.
- Né à la frontière des deux signes (Capricorne et Verseau) Arthemis a hérité de certains aspects astrologiques qui rendent sa personnalité contradictoire et très étrange. Têtu, mais assez feignant sur les bords, ambitieux mais rêveur, franc mais délicat, il est parfois difficile de le cerner, de le comprendre. Comment il sait tout ça, me demanderiez vous ? C'est simple, sa mère a toujours été passionnée par l'astrologie.
- Il est incroyablement maladroit, même si en général, ce petit défaut le rend encore plus attachant aux yeux des autres. Très distrait, il a ce fameux don de toujours louper une marche, de rentrer dans un poteau ou de glisser sur un terrain qui est pourtant sans danger pour les autres.
- Arthemis ne se préoccupe pas vraiment de ce qu'il se passe à Beddgelert. Ce qui l'inquiète avant tout, c'est le business familial qu'il doit gérer, car être le propriétaire d'un restaurant, aussi chic et populaire qu'il soit, n'a jamais fait partie de ses projets professionnels...
- Pour une raison mystérieuse, les enfants l'adorent. Même les plus difficiles et les plus râleurs peuvent devenir de véritables anges en sa présence. Gros bébé dans l'âme, gentil et sociable, Arthemis peut donc se débrouiller parfaitement bien, même avec une horde de bambins capricieux à ses trousses. Il rêve d'ailleurs d'avoir une grande famille.
- Débordant d'énergie et de bonne humeur, Arthemis est rarement pris au sérieux par son entourage. En effet, il adore faire des blagues, imiter, parodier, taquiner tout le monde, même s'il ne le fait pas toujours exprès, c'est dans sa nature. Sa mémoire ayant toujours eu quelques failles, il confond très souvent les répliques cultes des films et les proverbes, ce qui provoque généralement de grandes crises de rire, mais il ne se vexe pas.
- Sa mère ayant toujours été plutôt sévère avec lui, il a reçu une éducation très stricte et a étudié dans une école prestigieuse où les bonnes manières de chacun étaient surveillés à la longueur de la journée. Cependant, bien que poli et galant avec les femmes, Arthemis n'est pas devenu le "garçon modèle" dont sa mère rêvait. En plus d'être très têtu et râleur, il rejette à ce jour toute sorte d'autorité.


Bien ! Et à part ça ?

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Pseudo : Je vais prendre un joker.
Célébrité de l'avatar : JIM STURGESS.
Commentaires ? Oui beh, oui, je suis faible, je n'ai pas résisté, j'avais trop envie de jouer un p'tit gars et puis j'ai le droit, c'est moi qui commande ici. NIARK.

Votre vie semble fort captivante !

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Anecdote : « Non, non et non. Je ne retournerai pas là-bas. » protesta Arthemis en levant les yeux au ciel, exaspéré, tandis que sa mère tentait en vain de lui faire retrouver la raison, comme elle le disait si bien.

« Es-tu en train de me dire que tu tourneras le dos au rêve de ton père ? Après tout ce qu'il a fait pour toi. »
« Comme quoi ? Vous avez divorcé quand j'avais dix ans, je l'ai revu que trois fois en quinze années... »
« Mais il est mort, Arthemis. Tu pourrais te montrer plus digne que cela. Il t'a toujours aimé. »
« Il était pas mort, quand j'avais quatorze ans et qu'il m'avait promit d'aller au concert avec moi, avant de tout annuler au dernier mot. Je le pardonnais à chaque fois, mais l'histoire se répétait. S'il m'aurait vraiment aimé, il aurait fait des efforts. Là, c'est pas une excuse. » insista le jeune homme en se levant et en quittant la table, sous le regard accusateur de sa mère qui n'avait pas non plus l'intention d'abandonner.

« J'admets, il n'était pas parfait. Mais il tenait tellement à ce que tu t'occupes de ce restaurant. »
« Et bien évidemment, il n'a jamais pensé à quoi je tenais, moi. » ricana Arthemis en secouant la tête. « La musique, l'art, la photographie. Tu sais, m'man, ces trucs qui m'intéressent et dont t'ignores l'existence aussi. Pourquoi tu ne t'en occuperais pas, toi, de ce restaurant ? » proposa-t-il avec un sourire enjoué.

« Il tenait à ce que ce soit toi, et personne d'autre. »
« Il a pété un câble, le vieux. »
« Je te demande pardon ? »
« J'ai dis "c'est très honorable, mon Dieu". » improvisa Arthemis, ne voulant surtout pas écouter un long discours sur la politesse et le langage qu'il devait employer, étant un Woodsen. « Mais je ne peux pas, je suis désolé maman. Vraiment, y a aucune chance... »

***

Pourtant, il y retourna. Deux jours plus tard, il montait à bord de l'avion qui allait l'emmener loin de Londres, vers le village où il était né et où il avait grandi. Il n'avait pas accepté parce qu'il n'avait aucune volonté ou qu'il voulait faire plaisir à sa mère, loin de là. Elle parvint tout simplement à toucher un point sensible, lui parlant de cette petite fillette aux cheveux blonds, avec qui il était très ami, durant son enfance. De cette fille dont il était tombé éperdument amoureux en retournant un jour à Beddgelert, il y a cinq ans de cela. Elle était belle, drôle, intelligente... et elle allait se marier. D'un certain côté, il la comprenait. Il ne la méritait pas et puis cinq ans s'étaient écoulées depuis leur dernière rencontre, pourquoi devait-elle l'attendre ? Mais savoir qu'Ilyana allait s'engager avec un autre homme, était sans doute la plus douloureuse des évidences. Il ne savait pas réellement pourquoi il avait si brusquement changé d'avis et décidé de partir à Beddgelert et s'occuper du restaurant qui avait appartenu à la famille des Woodsen depuis des dizaines d'années. Sans doute espérait-il, au fond, de la faire changer d'avis. Mais il ne serait alors qu'un égoïste, et non pas le meilleur ami qu'il avait toujours été pour elle...

Posant ses bagages par terre, aussitôt rentré dans la maison où il avait passé son enfance, Arthemis jeta un bref regard autour de lui. Tout était exactement comme dans ses souvenirs. Les meubles, les peintures, et même le piano n'avait pas bougé d'un seul centimètre. Esquissant un bref sourire, il vérifia l'heure. Certes, il était peut-être un peu tôt, mais il ne pouvait pas attendre. Il fallait qu'il la voie et qu'il lui parle. Sans plus attendre, il verrouilla la porte et se dirigea vers sa maison. Il n'en avait que pour cinq minutes de marche, tout au plus. Il avait répété un discours des dizaines de fois. Cela ne l'empêcha pas de tout oublier, une fois qu'il la vit. Cela faisait plus de cinq minutes qu'ils étaient assis, l'un en face de l'autre, silencieux. Il observait la pièce, elle fixait le bout de ses chaussures en se tortillant les doigts, nerveuse. Le malaise se ressentait dans les moindres de leurs gestes et des regards qu'ils se lançaient, hésitants.

« Alors... tu vas te marier, hein. » finit-il par lancer, d'un ton qui se voulait indifférent. La jeune femme l'observa quelques secondes, avant d'acquiescer. « Et... pourquoi ? » poursuivit Arthemis, se sentant un peu plus con à chaque seconde qui passait. Ilyana ricana légèrement.
« C'est pourtant simple à deviner, non ? J'aime Connor. »
« Ah. Oui, en effet, ça paraît logique. » marmonna-t-il en plissant le front, essayant en vain de dissimuler son malaise face à cette situation. « Enfin, je veux dire... ça me paraît pas logique que t'aimes Connor, vu que je ne le connais pas, mais que tu te maries parce que tu l'aimes... Tu l'aimes vraiment ? »

Poussant un soupir frustré, la jeune femme se leva du canapé d'un bond.

« T'as vraiment un sacré culot, de débarquer après cinq ans et de me demander ça ! »
« Je sais, je suis le seul coupable dans cette histoire. Mais t'es pas en train de te précipiter un peu, là ? T'as que vingt-trois ans, t'as toute la vie devant toi. T'as pas besoin de te marier aussi jeune. » remarqua-t-il en s'approchant d'elle, alors qu'Ilyana regardait par la fenêtre.
« Oui, je pourrais perdre quelques années de plus à t'attendre. » répliqua-t-elle, sarcastique.
« Je suis là, maintenant. J'ai pas l'intention de partir. »
« C'est un peu tard, Arthemis. T'aurais peut-être dû y penser avant. » et c'est ainsi que leur discussion se termina. Il avait beau chercher, il ne trouvait rien à dire pour sa défense. Il avait merdé, sur ce coup là. Et maintenant, il allait perdre la seule femme qu'il ait jamais aimé.

Ne me dit pas qu'on l'a fait en même temps

Jiiiiim
Bon DC

Hanw
Ben ça alors, j'me demande vraiment comment t'as entendu parler de ce forum
(Bon courage pour la ficheahaha)

Mise à part ça quel magnifique choix

Haha (a)
JIM

Au faite j'ai une petite question (service) à te demander
Je t'envois un mp

Ohhh, rebienvenue parmi nous.
Très bon choix, j'adore Jim .

Arthemis P. Woodsen a écrit:

Pink Floyd, Dire Straits, Pat Benatar, ZZ Top, The Rolling Stones, Scorpions, Aerosmith, The Who... et plein d'autres.