| | SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE | |
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| Sujet: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Ven 29 Jan - 20:55 | |
| Déclinez votre identité, étranger...
------------------------------------------ Nom, Prénom(s) : ERDAL SOLVEIG. origine suédoise bien sur tout le monde s'en doute. Solveig porte le nom de son père car elle n'a jamais connue sa mère, celle ci l'ayant quitté à la naissance. Age : 24 ans. Lieu de naissance : DJURSHOLM ; une petite ville au sud de la Suède Emploi ou occupation : BARMAN Mais on aimerait vous connaître un peu plus...
------------------------------------------ Particularités (habitudes, manies, goûts) : Citez en au moins huit.
▬ Je déteste la routine. Je déteste que tout les jours se ressemblent. J'ai besoin d'action, d'un peu de différence. Si les jours passent et qu'ils se ressemblent tous, à quoi bon les vivre ? en avoir vécu un vous a permis de tous les vivre. Non, rien ne vaut une bonne surprise, une petite ballade, une bonne sortie, ou quoi que ce soit qui sorte de l'ordinaire. Tomber dans l'habitude est une sorte que je ne pourrais sans doute pas supporter, c'est pour ça que je travaille dans un bar. Bien que les gestes se répètent toute la journée, il se passe toujours quelque chose. On ne voit jamais les mêmes personnes et on ne sait pas ce que sa journée de travail nous réserve. ▬ Je ne supporte pas que quelqu'un lève la main sur moi. C'est une chose qui m'est totalement inadmissible. C'est sans doute du à mon enfance d'enfant battu mais je ne me laisse désormais plus faire. Personne n'aura les raisons qui fait que mon père me battait. Et aujourd'hui, je suis prête à me défendre. Je défit quiconque de venir se frotter à moi, c'est à vos risques et périls. Je ne suis pas contre une petite bagarre de temps en temps, j'ai l'impression de pouvoir enfin me défendre de ces coups qui m'ont tant traumatisés. ▬ Je déteste le soleil. Ce satané soleil qui brille continuellement ici. Ma Suède me manque, ce temps si froid, les couches de soleil au bas de la montagne, devant la neige, les lacs gelés, le soleil qui ne se montre que très rarement. Ici, quand il neige, le lendemain on marche dans la boue. C'est absolument désagréable. Ce temps est si prévisible qu'il en devient navrant. Je ne demande pas grand chose moi, une petite tempête de neige de temps en temps, pour me rappeler le pays ... ▬ Je parle plutôt bien l'anglais, disons que je me débrouille. Après quelques temps, j'ai réussi à me faire comprendre et aujourd'hui j'arrive même à comprendre certains jeux de mots. J'ai par contre toujours mon accent du nord dont je crois que je ne me débarrasserais jamais. Mais après tout je l'aime bien. Et puis ça fait légèrement exotique. Les hommes aiment bien la diversité non ? ▬ Je suis autant attaché à ma voiture qu'un homme peut l'être. C'est mon petit bijoux, ma princesse. Bon, je reconnais, je l'ai légèrement volée. Enfin, le propriétaire est décédé donc je n'ai fait que subtilisé une voiture sans propriétaire sur un parking. Bon, j'avoue que j'ai aussi falsifié les documents pour les mettre à mon nom mais ça fait tellement longtemps qu'il y a prescription non ? Toujours est-il que le premier qui la raye se prend un bon coup de pied la où je pense. C'est une Audi que je ne troquerais pour rien au monde, j'aime trop la vitesse pour ça. Et j'adore voir la tête des hommes que je double quand il se rendent compte que c'est une femme au volant. ▬ Je chante comme une casserole. Le plus souvent j'évite même. Car en anglais c'est encore pire. Peu de personne m'ont en réalité déjà entendu chanter parce qu'en plus je ne prend aucun plaisir à le faire. J'ai conscience que c'est faux et ne me torture pas pour changer. C'est la vie comme on dit. ▬ Je suis assez grossière. Je le reconnais. J'ai tendance à jurer toutes les trente secondes. C'est plus fort que moi, ça part tout seul. Et pourtant, ce n'est pas faute d'avoir essayer d'y remédier. Et je ne sais pas d'où ça vient. C'est vrai, je mange proprement, je suis plutôt à cheval sur les bonnes manières ... Une vraie énigme. ▬ Je ne suis pas vraiment du genre à faire des démonstrations d'affection en public. Je déteste voir des gens se câliner dans la rue ou s'embrasser et je ne risque pas de faire pareil. Pourtant, dès que je suis en colère, je pleure. Des larmes de rage sans doute mais je n'arrive que très rarement à les retenir. Ce qui me met naturellement encore plus en colère que je ne l'étais déjà. Et dans ces cas là, mieux vaut pour vous être assez dégourdi pour quitter la pièce parce que je peux piquer des colères impressionnantes et en très peu de temps.
Bien ! Et à part ça ?
------------------------------------------ Pseudo : mélodie Célébrité de l'avatar : DAW Commentaires ?
Dernière édition par Sólveig Erdal le Lun 1 Fév - 20:26, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Ven 29 Jan - 20:55 | |
| Je peux lire dans vos yeux la même peur qui pourrait saisir mon cœur. Un jour peux venir où le courage des hommes faillira où nous abandonnerons nos amis. Mais ce jour n’est pas arrivé ! Ce sera l’heure des loups et des boucliers fracassés lorsque l’age des hommes s’effondrera. Mais ce jour n’est pas arrivé. Aujourd’hui nous combattrons pour tout ce qui nous est cher sur cette bonne terre. |
« Solveig, qu'est ce qu'il y a ? » j'ai voulu continuer à marcher en l'ignorant mais sa main attrapa mon bras pour m'immobiliser. Instinctivement, j'ai essayé de me libérer mais il me tenait trop fort. Son autre main se posa ma joue et j'ai grimacé. Il n'avait fait que m'effleurer mais ma pommette tuméfiée me faisait un mal de chien. Il me releva alors le menton pour me regarder dans les yeux. Je n'essayais pas d'éviter son regard, c'était peine perdue. Je le connaissais si bien que je pouvais lire sa colère, son chagrin et son impuissance. Je savais qu'il s'inquiétait pour moi, je savais aussi qu'il ne pouvait rien faire lors j'ai baissé les yeux. « Qu'est ce qu'il s'est passé ? Et me sort pas un truc comme quoi tu es tombé dans l'escalier ou tu t'es pris une porte pour aller aux chiottes. Je veux que tu me dises la vérité. » J'ai soupiré et senti des larmes de colère me monter aux yeux, il n'avait pas le droit de me traiter ainsi, et s'il voulait m'aider il ne s'en prenait vraiment pas de la bonne façon. Je me suis libéré rapidement « Laisse tomber Claes ». Ma voix était plus cassante qu'a l'accoutumé. Je n'avais aucune envie qu'il s'inquiète pour moi, j'avais assez de problèmes comme ça à régler. De plus, je ne méritais pas autant d'attention. Je l'ai entendu soupirer tandis que je me dirigeais déjà vers ma voiture, je n'avais qu'une envie, retrouver mon lit. En rentrant chez moi, je trouvais mon père avachi sur le canapé à moitié mort. Je lui jetais à peine un coup d'œil et me dirigeais directement dans la cuisine. Le frigo était bien sur vide puisque j'étais trop énervée pour passer au supermarché mais il restait tout de même un morceau de ce gâteau au raisin sec que j'avais fait la veille et une bouteille de jus de fruit dont je m'emparais avant de me réfugier dans ma chambre. Alors qu'il était enfin temps d'aller me coucher, j'ai entendu que l'on frapper à la porte d'entrée. Je savais que mon père était debout alors je l'ai laissé aller ouvrir. Après tout aucune de mes connaissances ne passaient me voir chez moi, je les en avait formellement interdit. Mais rapidement, des éclats de voix arrivèrent jusqu'au premier et je suis discrètement descendu. Mon père était en effet debout et tenait un discours des plus embrouillé à notre mystérieux visiteur. Quand il m'a aperçu, il m'a jeté un regard noir et s'est arrêté de parler. Je me suis immédiatement avancé pour me retrouver dans le salon, entre mon père et ... Claes. Je me suis arrêté net en le voyant et nous nous sommes fixés un bon moment. Je ne savais pas vraiment à quoi son regard insistant était du. Sans doute au peu de tissu qui couvrait mon corps de jeune femme ou aux nombreux hématomes qui contrastaient avec ma peau d'un naturel très pâle. Lui même semblait hésiter entre la colère et le désir. « Qu'est ce que tu fais là ? » Ma question 'était pas vraiment agressive, je l'avais d'ailleurs pratiquement murmurée. Il se rapprocha de moi lentement tout en gardant son regard le long de mes courbes et déposa un baiser sur ma pommette . « Je suis là pour ça. » J'en suis restait sans voix. Je ne pensais pas qu'il s'inquiétait à ce point pour moi. C'était vraiment touchant, mais complétement inutile. Mon père ne m'en battrait pas moins parce qu'il avait voulu jouer au prince charmant. Il n'allait pas tout d'un coup arrêter de boire, arrêter de m'en vouloir parce que maman était parti. Pourtant, une partie de moi avait envie que tout s'arrête, j'avais envie d'y croire. Je l'ai regard dans les yeux une lueur d'espoir pour lui. Il m'adressa un grand sourire avant de se tourner vers mon père. Son regard s'est fait plus dur, presque menaçant. Tout d'un coup un frisson parcourut mon échine et j'ai reculé d'un pas, comme si je ne voulais pas participer à ce qui allait suivre. Il se tourna pourtant vers moi et m'ordonna de ne pas bouger. Croyez moi, j'ai obéi sans même rechigner. Il semblait vraiment en colère tout d'un coup comme si toute trace d'humanité avait disparu, comme s'il était quelqu'un d'autre. Même mon père a senti le danger qui émanait de Claes et a ostensiblement reculé vers la porte. « Votre fille n'est PAS un punching ball. Vous voyez ses yeux, on ne peut y lire que la peur de rentrer chez elle. Elle a peur de vous. Elle est terrifiée et elle est seule. Et c'est à cause de vous. » Il effectua une pause, sans doute pour l'effet dramatique ou un truc comme ça, je suis sure que dans un film cela aurait été pour tenir le spectateur en haleine mais sur le coup, ça m'a vraiment fichu la trouille. D'autant plus que je ne savais pas où il avait été cherché tout ça, et surement pas dans mes yeux . Si ? « Alors vous allez la laisser tranquille, vous allez la laisser vivre sa vie c'est compris. Sinon je reviendrais, et la prochaine fois ce sera avec les flics. Compris ? » Et sans demander son reste, il quitta la maison par la porte de derrière. Une fois mes esprits repris, j'ai essayé de lui courir après mais il était déjà parti. Seule la pleine lune me regardait entre ses nuages. Je me suis assise par terre et j'ai attendu. Je ne savais pas quoi mais je l'ai attendu. Au petit matin, après avoir observé la lune et les étoiles toute la nuit je suis rentré chez moi, mon père avait disparu. Il avait emporté les maigres économies que nous laissions dans une tirelire et avait pris la fuite. Quand à moi, je ne savais pas si j'étais heureuse ou triste. Car désormais j'étais seule, il ne restait plus que moi. Et il était clair que je ne me suffisait pas à moi même.
Circonstances de la transformation : Il y aura toujours quelque chose pour détruire nos vies. La seule question est : « qu’est-ce qui va nous tomber dessus en premier ? ». On est toujours au bord du gouffre. |
« Claes il y a quelqu'un chez nous. » J'essayais de reste calme mais malgré moi, ma voix effectua un drôle de trémolo qui témoignait de la peur grandissante qui s'emparait de moi. J'étais seule dans mon lit, dans ma chemise de nuit préférée quand la porte d'en bas avait été fracturée. Je l'avais entendue mais avait trop peur pour bouger. Je m'étais ratatiné dans un coin de ma chambre, mon téléphone portable collé contre mon oreille pour appeler Claes. Nous habitions ensemble désormais et comme tout les soirs de pleine lune, il était parti marcher, il adorait ça. Je le laissais y aller seul comprenant son besoin de liberté, mais là, j'avais franchement besoin de lui et pas de son répondeur mais c'est pourtant la seule chose qui m'a répondu. J'ai donc laissé un message bref avant de me relever. Je n'allais tout de même pas laissé quelqu'un dévaliser la maison que j'avais du mal à payer alors que j'étais à l'intérieur. J'ai attrapé la première chose qui m'est tombé sous la main, malheureusement pour moi c'était seulement un coupe papier et je suis sorti de la chambre. Toutes les lumières étaient éteintes, seule la lueur de la lune me permettait de me déplacer sans heurt. Arriver devant l'escalier, je me suis figée. Je savais qu'il était vieux et il risquait surement de me trahir. Mais je connaissais cette maison mieux que ma poche. J'ai alors fermé les yeux, essayé de me replonger dans mon enfance, cinq ans auparavant lorsque j'avais quinze ans et que j'essayais de sortir de la maison sans être entendu. Ma main s'est serré à la rampe et l'autre tenait fermement le coupe papier. J'ai ouvert les yeux et j'ai descendu l'escalier dans une sorte de danse macabre pour éviter qu'il ne grince. Mais malheureusement, la dernière marche me démasqua et le bruit significatif de l'escalier rompu le silence oppressant. Immédiatement, une voix que je détectais dans la cuisine se fit entendre « Qui est là ? » Non mais c'était une blague ou quoi ? Il y avait quelqu'un, dans ma maison qui osait de demander qui est là . Mais je n'ai pas vraiment pris le temps de rire et me suis caché derrière le canapé. Avec un peu de chance, je pourrais atteindre la porte de derrière et courir chez les voisins pour avertir la police. Pourquoi ne l'avais-je pas tout simplement appelé ? C'était un mystère et encore aujourd'hui je m'en voulais grandement de cette erreur stupide qui m'avait valu une vie. Toujours est-il que n'ayant pas répondu à sa question, mon mystérieux visiteur s'est dirigé vers les escaliers qu'il a monté sans bruit, j'en ai profité pour courir vers la porte de derrière. Évidemment, je me suis pris les pieds dans un coussin et me suis étalé de tout mon long non sans retenir un juron. Immédiatement, des bruit de cavalcade se sont fait entendre et j'ai compris qu'on me poursuivait. Je me suis alors relevé très rapidement et suis sortie en courant. J'étais pieds nus et qui plus est absolument pas prête à affronter le froid d'un soir de mars dans ma petite chemise de nuit alors j'ai immédiatement grelotté. Je n'allais pas en sortir vivante, c'était presque certain. Pourtant, je continuais à courir m'enfonçant dans les bois qu'il me fallait traverser pour atteindre la maison la plus proche. Je courrais sans me retourner car j'entendais les cris de mon poursuivant m'intimant de m'arrêter. Je l'entendais se rapprocher mais je n'arrivais pas à le semer. Je sentais ma fin venir et je me suis dit que tout était fini quand j'ai senti un poids s'abattre sur moi. Je me suis écrasée sur le sol me raclant au passage la moitié du corps. J'essayais de me relever mais il était de nouveau sur moi. J'ai ouvert les yeux que j'avais fermé et suis tombé nez à nez avec le visage de mon père. Mon visage devait surement ressembler au sien, frappé par la stupeur et l'incompréhension. Seulement je savais que je n'était pas sauvé, il n'hésiterait pas à me faire de mal alors je me suis débattue. J'ai crié de toute mes forces et l'ai frappé pour qu'il se bouge. Il ne bougea pas mais se contenta de m'immobiliser les mains. Il s'apprêtait à parler quand un grondement sauvage résonna près de nous. Immédiatement je me suis figée. A choisir, mourir par la main de mon père était moins terrible que mourir par les griffes d'un ours. Mais ce qui est sorti de derrière les arbres et qui s'est dirigé vers nous n'était pas un ours, cela tenait plus du loup. C'était énorme et très menaçant. Mon père s'est immédiatement relevé et a couru dans la direction inverse. La ... chose l'a rapidement attrapé et l'a violemment jeté sur moi qui venait juste de me relever. Je me suis retrouvé à moitié sonné une nouvelle fois sous le corps de mon père. Il était inconscient et déjà la bête revenait vers moi. J'ai essayé de repousser mon père qui a fini par tomber à mes côtés mais c'était trop tard. Le coup de griffe était parti. Il déchiqueta le corps de mon père et m'atteignit dans le dos. Je me suis laissé tomber par terre.J'avais mal partout, mon corps n'était plus que douleur pure. Je savais que ma vie allait s'achever et alors que le monstre s'approchait à nouveau, j'ai sombré dans les profondeurs du néant.
Comment réagit-il quant à sa nouvelle nature ? Les êtres humains ont besoin de beaucoup de choses pour se sentir vivant : la famille, l’amour, le sexe. Mais la seule chose essentielle, c’est d’être en vie. Il nous faut un cœur palpitant... Lorsque notre cœur est menacé nous réagissons de deux façons. Ou nous fuyons ou nous nous battons. Il y a une expression pour dire ça : le combat ou la fuite. C’est instinctif. Nous ne pouvons pas le contrôler... En sommes nous capable ? |
J'ai ouvert les yeux. Et en ouvrant les yeux, j'ai reconnu le plafond familier de ma chambre. Je m'entendais respirer, je sentais ma poitrine bouger au rythme de mon cœur. Mon cœur qui battait. Je n'étais donc pas morte. J'ai essayé de me relever mais une douleur insupportable m'a traversé le bas des reins. C'était si douloureux que j'en ai eu les larmes aux yeux. J'ai serré les dents pour ne pas crier et me suis recouché, le cœur battant la chamade. Il me fallait réfléchir. Je me trouvais dans mon lit. Comment était ce possible ? Qui m'avait ramené ? Pourquoi la chose m'avait épargné ? Je n'en savais rien et n'allait surement pas trouver les réponses toute seule. « Claes ? » Il devait être rentré désormais. Pourtant, aucun bruit ne se fit entendre. Rien d'autre ne me répondit que le silence. J'ai alors tourné la tête doucement vers la gauche pour voir s'il ne dormait pas mais à la place de son corps, je trouvais une feuille pliée en deux. Je me suis empressée de la lire mais je n'aurais sans doute pas du. Il était parti. Loin, il était parti. Je ne pouvais rien faire d'autre que pleurer. Il expliquer qu'il m'avait changé en loup garou, qu'il regretté et qu'il ne pouvait pas vivre avec ça. Qu'il avait trop honte de m'avoir fait du mal et qu'il ne pourrait plus jamais me regarder en face. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il m'arrivait. Un loup garou ? Un loup garou comme dans les films ? Comme dans True blood ou Twillight ? C'était stupide. Je ne pouvais pas être un loup garou. Et pourtant. Je me suis remise de mes blessures et la première pleine lune est arrivée plus vite que je ne l'aurais voulu. Je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie. C'était terrifiant. Cette nuit là, j'ai agressé quelqu'un. Je le sais, je m'en suis rappelé. La seule fois où j'ai blessé un être humain. Être humain qui m'est aujourd'hui très cher. Plus que je ne le voudrais d'ailleurs. J'ai quitté la Suède pour le retrouver, ma ville, mes repères. Mais être un loup-garou fait désormais parti de moi et je me suis habitué même si je pense encore à Claes. A mon père qui avait encore une voix gâché ma vie.
Dernière édition par Sólveig Erdal le Lun 1 Fév - 18:28, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Ven 29 Jan - 21:06 | |
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| | | Sïnéad Aora-RheynsSïn. ♠ bad thing with you
Messages : 566 Inscription : 01/12/2009 Âge du perso : vingt-cinq ans Emploi : propriétaire du Limelight
| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Ven 29 Jan - 21:15 | |
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| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Ven 29 Jan - 21:26 | |
| Ça va être très, très drôle tout ça |
| | | Thao Elyon FlitcherISIS. ♦ The temptation will haunt you
Messages : 125 Inscription : 08/12/2009 Âge du perso : vingt-six ans Emploi : Danseuse au Red Orgy Cabaret
| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Ven 29 Jan - 21:45 | |
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| | | BRHAPSSALLY Ω Here come complications.
Age : 33 Messages : 639 Inscription : 04/12/2009 Âge du perso : 23 ans Emploi : Sans Emploi
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| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Ven 29 Jan - 23:36 | |
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| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Ven 29 Jan - 23:45 | |
| Déjà que j'avais du mal à attendre la saison 3 de TB, ça ne m'aide pas ça Re-bienvenue |
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| | | | Andras C. MaleaumeOLD WOLF ◈ Ad vitam Aeternam ◈
Messages : 541 Inscription : 29/12/2009 Âge du perso : 35/45 ANS Emploi : Artiste Polyvalent. Adresse : N°1271, Crawflyn Woods
| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Sam 30 Jan - 1:00 | |
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| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Sam 30 Jan - 2:24 | |
| Tu garde Shannyn je garde Deborah, hum TB arrive cet été. Survivons. |
| | | Sïnéad Aora-RheynsSïn. ♠ bad thing with you
Messages : 566 Inscription : 01/12/2009 Âge du perso : vingt-cinq ans Emploi : propriétaire du Limelight
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| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Lun 1 Fév - 19:20 | |
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| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Lun 1 Fév - 19:57 | |
| DAW Bon choix, bienvenue. |
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| | | | Bliss V. Grimsson SWEET MELODY • I come to you in pieces so you can make me whole
Age : 33 Messages : 432 Inscription : 28/11/2009 Âge du perso : 22 printemps. Emploi : Co-propriétaire du Tippy's. Adresse : N°3423, Bloomsburry St.
| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE Lun 1 Fév - 22:02 | |
| Je valide avec plaisir. |
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| Sujet: Re: SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE | |
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| | | | SOLVEIG ▬ « can't fight the moonlight. » TERMINEE | |
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