Déclinez votre identité, étranger... ------------------------------------------ Certains sont sur que la vie leur apporterons beaucoup de choses, et d’autres et bien rien vient. On m’a enlevée une attache précieuse, un pilier que tout enfant voit comme divin. Je n’ai pas l’esprit à perdre la raison puisqu’elle à toujours pris le dessus sur le moindre de mes faits et gestes. C’est un « moi » intérieur que je ne domine que par période et à coup. On ne joue pas avec les dès de l’existence et encore moins avec elle-même. Croire pour apprendre ? Pourquoi pas. Pour ma part j’essaie d’apprendre pour croire mais dans la logique une seule chose importe c’est la délivrance. Petit nous sommes condamnés à souffrir mais la souffrance s’arrête avec la mort, puisque c’est une délivrance devenue liberté. Vous pensez que je lis beaucoup trop, certes je vous en accorde le bénéfice du doute, mais que voulez vous on ne refait pas le monde entier qu’avec des « si », mais avec des écrits peut être ? Pourtant c’est grâce à des croyances que je dois mes nombreuses appellations, elles ont une histoire proprement parlée, mais rien de plus et rien de moins. Si Théodora signifie littéralement « don de Dieu » en ancien grec, je ne crois guère que j’en demeure un. Le malheur semble avoir pris possession de ma conscience mais aussi de mes pensées. Bien que l’usuel ne sois pas vraiment des plus « fondant » dans la masse, le deuxième ne semble pas plus déroger à la règle, bien que Carmen reste dans les coutumes de nos jours - en somme mon identité complète est Théodora Carmen Giordano Fleming -. Enfin bref, si cela fait bien vingt années que je parcours l’ensemble de l’existence humaine, et bien cela fait presque quinze années que je joue du violon - musicienne - ; et c’est ce qui constitue mon gagne pain en dehors de mes études en arts dramatiques et de mon job a temps partiel à la librairie du village . La musique est un art comme un autre dont la puissance se transmet par l’âme et les vents favorables. Les vents mauvais de Verlaine ont commencés un vingt cinq décembre dans mon cas et décidément ils me poursuivent jusqu’à l’heure de mon salut. Si Beddgelert accueille mes pensées tourmentées, alors le résultat de mes origines devraient vous parlez sans aucuns problèmes quelconques. Je suis ce qu’on peut nommer un satellite en perdition, en quête d’espérance. Je ne crois plus pour croire, mais je cherche tout de même à penser que le monde va un jour tourné rond en amélioration. Je suis un satellite perdu en plein désert, et tout comme lui mon cœur se heurte à l’existence en solitaire. Votre vie semble fort captivante ! ------------------------------------------ Anecdote : Tête haute ou tête basse, l’avenir est toujours tourné droit devant nous, devant vous. Oublier le déjà vécu pour ne plus souffrir peut paraitre une excellente idée, mais à la fin on se rend vite compte que le proverbe « reculer pour mieux sauter » se met très vite en place et prend enfin du sens. Rien ne sert de mettre un voile sur ses parcelles de souvenirs les plus douloureuses comme infiniment dures, car elles apparaissent très vite lointaines et paisible pour les yeux. La patience étant vertu, la musique adoucissant les mœurs, on ne peut croire en ces apaisements que forment ces accords musicaux doux et facétieux pour une fine partition de musique classique. Le brouillard ne cessait de s’épaissir au fur et a mesure des minutes qui défilaient sur l’énorme horloge en bois massif qui trônait sur l’estrade de la salle du conservatoire. Les carreaux des fenêtres étaient froids et transparentes et dessus gisait encore les traces de doigts des enfants que la brume avait figés de concert avec la froideur hivernale. La pièce était immense et le décor digne d’un panthéon grec était sublime et imaginatif. Seul le souffle unique d’un homme se faisait encore entendre à cette heure tardive de la soirée de noël. Qui pouvait bien encore siégeait ici, alors que tout était désert en ce jour de festivité collective et familiale ? La réponse ne se mouvait guère depuis ces dernières années, années où la Girodano venait sans modération jouer de la musique. Une mélodie qu’avait parcourut ses nuits d’insomnies, ses peurs antérieures, ses représentations musicales d’adolescente, ses jours d’ennuis et de mélancolies, et surtout l’imagination de la maitresse de son savoir, ceux qui l’avait abandonnée à contre cœur - elle et sa fratrie - , pour un pays idyllique et beaucoup plus léger. La légèreté de la plume du « jugement dernier », Théodora n’y croyait pas tellement et préférait laisser cela à des hommes d’Eglise qui sans cesse prêchaient le faux pour savoir le vrai, comme si l’existence humaine était une question d’intérêt personnel. Quelques parts la vie était un jeu, un jeu nocif et cruel qui agissait sans prévenir. Prévenir ? La blonde aux reflet de blé en avait grandement l’habitude avec sa jeune sœur, mais encore le mot était faible car il adorait de loin laisser le hasard agir. Adepte du mot hasard, Théodora aimait le mentionner autant de fois que possible à ses pensées colériques et fatalistes, qui sans grandes surprises poursuivaient leur ascension vers la voix irrévocable de la réprobation et du tourment. Installée derrière l’instrument à cordes frappées qu’offrait la salle de musique, la jeune femme à l’allure d’Aphrodite frôla de ses doigts fins et blancs le clavier aux couleurs ivoires et ébènes. Ses mains prirent alors possession des touches et la vitesse de ses doigts se rythmait à la chorégraphie de la partition qu’il était en train de jouer. D’abord des sons lourds en gravité puis de simples notes qui rendaient la composition plus fluide et mélodique. Son regard ambré vrillait sur les touches du piano à queue et il ne vacillait aucunement avec le temps. Le silence se rompait petit à petit au profit de l’art des notes musicales, les quelques chandeliers de cristaux qui gisaient au plafond se mêlaient eux aussi à la danse des sons que produisait le virtuose. Cristallin pour doux méandre, Théodora abordait toujours un visage fermé et glacé, comme si elle l’avait été sculptée dans du marbre ou bien de la porcelaine. Les douze coups de minuit vinrent sortir la musicienne de son mutisme et c’est en soupirant qu’elle se répliqua à lui-même. « Encore une année de plus à attendre. ». Bien qu’elle soit née un vingt cinq décembre - le jour de la soit disant venue d’un messie, un enfant bénit - la blonde ne se laissait guère berner par la croyance religieuse et toutes ses nombreuses facettes, elle gardait pour elle ses opinions car elle respectait la foi de chacun, mais tout se stoppait la pour sa personne. Sa religion, ses croyances et ses vertus, la Giordano la puisait comme dans une éprouvette, dans les arts et ceux peu importe lesquels. Exprimer ses ressentiments et ses impressions au travers d’un art - quelconques - était l’une des meilleures manières de se dire que tout vaut la peine d’être vécu. Certains au contraire - à l’image de l‘italienne - se voilait complètement le visage - gardaient dans l’esprit qu’ils demeuraient le porte malheur le plus complexe du monde et ne cherchaient guère à en comprendre le pourquoi du comment. Peut être que rien n’est comparable à la croyance, peut être que rien n’existe vraiment et que tous ces écrits bibliques sont de belles histoires à debout ? Mais la réponse est telle qu’on ne le sera jamais d’accord et véridique sur ce qu’on peut avancer. Elle avait perdue l’espérance de vivre et attendez encore et encore ; mais en attendant elle gardait son talent musical pour elle afin de pouvoir murmurer a son conscient le terme : patience. Mais on aimerait vous connaître un peu plus... ------------------------------------------ Particularités (habitudes, manies, goûts) : - « comme si bien Verlaine au vent mauvais, je suis venu te dire que je m’en vais. ». Qui ne connais pas Gainsbourg et ses célèbres feuilles de choux et son billet de cinq cent francs brulé lors d’une émission de télé réalité ? Personne. Et comme beaucoup de jeunes gens la blondinette est depuis toujours une adepte de la musique et ce sous toutes ses coutures. Pour autant, Théo a su remarquer la présence de l’auteur mentionner dans cette citation, et dès lors Verlaine et Baudelaire sont devenus ses poètes de prédilections. La Giordano pourrait vous citez leurs œuvres à n’importe quel moments, et croyez moi la morale n’est jamais bien loin venant de sa part. - « Toute la musique que j’aime ! ». On dit que la musique à le pouvoir d’adoucir les mœurs mais pas seulement en réalité. C’est aussi un art universel qui se transmet de génération en génération dans la famille Fleming. En ayant grandit au sein d’un environnement diversifié, Théodora a eu la fibre artistique et ouverte. Si la figure maternelle a pratiquée du piano, il était toutefois logique que la gamine de l’époque en suive les traces de très près. Le violon devient dès lors sa première corde suivi du piano. Deux instruments pour une jeune virtuose, rien de plus flatteur. Autant dire que la musique n’a plus aucun secrets pour elle. Et qui dit musique dit nouvelle technologie et logiquement Ipod. Toujours les écouteurs sur ses oreilles, il ferait une parfaite métaphore de bouclier. The Police, les Beatles, les Rolling Stones, Muse … Tout y passe sans aucune modération. - « Les trois mousquetaires revus aux gouts du jour. ». Alexandre Dumas, un nom qui nous vient tout de suite à l’esprit lorsque vous entendez les mousquetaires. Mais pour les Giordano, les trois mousquetaires se cantonnent à Allegra, Fausto et la cadette de la famille. Cette dernière est très proche des jumeaux et eux-mêmes ne pourraient prétendre le contraire. Sous ses airs réservés et silencieux, Théo est une vraie solitaire pure et dure qui régit sa vie selon un fatalisme implacable. Elle prend tout a cœur pour elle, et se perd dans ce monde où elle sent qu’elle n’a plus sa place - ce qui autrefois c’est traduit par une anorexie durant son adolescence - une place que tente de lui faire comprendre sa sœur d’une année de plus qu’elle, Allie. Cette dernière est le soutien dont la blonde à besoin affectivement. Elles se complètent et la sagesse de l’une et de l’autre les mettent sur un point d’égalité. Malgré sa fragilité et son orgueil sans limite, Théo est bien ce qu’on peut appeler une énigme pour la philosophie du monde. - « Parce qu’il y aura toujours un wooffy. ». Théodora est connu par ses proches pour son mutisme inconditionnel et incorrigible, mais aussi pour son amour pour la nature. Étant petiote, la douce adorait passer tout son temps dans les chemins broussailleux qui bordaient la maison et tout le tsouin-tsouin. Ce qui n’a strictement rien à voir avec son compagnon à quatre pattes me diriez-vous ? Et bien si, puisque c’est dans les alentours des bois, qu’elle est allez quérir sa boule de poil. Pelage aux couleurs des sables, regard empli de malice à souhait, ce labrador de cinq mois au compteur est un vrai fanfaron d’où son titre identitaire : Molière. - « treize à la douzaine. ». La jeune Giordano est la dernière d’une famille de quatre enfants, ce qui peut en surprendre quelques uns, surtout en ce qui la concerne. Oui, souvent on pense que Théo est l’ainé des jumeaux, mais ne vous y trompez pas. Contrairement a ses frères et sœurs, la silencieuse vit très mal la disparition de ses géniteurs - il faut dire que son âge à l’époque n’était guère très propice à l’évènement : seize années étant une période assez incomprise d’autrui. - et en souffre encore aux jours d’aujourd’hui. Personne ne soupçonne son mal être intérieur mis a part peut être Allegra. - « comme d’habitude … ». Les habitudes coutumières sont de rigueur chez tout le monde, ce n’est pas un scoop. Chez la demoiselle certaines manies reviennent constamment. La première d’entre elles est surement le fait qu’elle rougisse lorsqu’elle est gênée, et oui les teintes de la pivoine s’emparent de ses joues blanches sans prévenir et cela Théo ne le supporte pas vraiment. Lorsqu’elle qu’elle éprouve un sentiment d’ennuis, elle passe sa main dans sa chevelure, un geste devenu quasi quotidien depuis quelques années. Théodora est de ces personnes qui n’aime pas avoir l’attention rivait sur elle-même, la solitude est son terrain de prédilection, sa patience infini et légendaire laisse souvent son entourage et ses proches sur sa fin. - « lorsque littéraire et itinéraire agissent toujours de concert. ». Si vous entrez dans l’univers de Théo - comme la surnomme ses frères et sœurs - vous constaterez très rapidement que c’est une véritable caverne de lecture et un manoir ancien de l’épopée de Christophe Colomb. Malgré son jeune âge la douce à pas mal voyager, et tend encore à croire en cette maigre espérance. L’érudit lit énormément et pourrait passer ses journées à les dévorer. Freud, Baudelaire, Voltaire, tout y passe sans exception. D’ailleurs son travail à la librairie du village, vient de cette cause à effet. - « Expresso, what Else ? ». La dernière chose à savoir cette grande mystérieuse est qu’elle carbure au café noir intense. Il ne se passe pas un matin où elle manque de prendre sa dose de caféine. Que se soit sous forme de coca-cola ou bien dans du café bien corsé. Si l’on doit inclure qu’elle fume lorsqu’elle est énervée alors oui autant le dire. Fumer une cigarette après une journée stressante est souvent de rigueur et oui on ne change guère les mauvaises habitudes. Enfin bref. Boire du café est une habitude, mais lorsqu’elle est contrariée, prévoyez plusieurs cafetières de secours.

Bien ! Et à part ça ?

Pseudo : blue bird.
Célébrité de l'avatar : mischa barton.
Commentaires ?

MISCHA WONDERFUL BARTON
Bienvenue.

Han l'avatar est magnifique !

La musique, le vava, le rp! J'aime tout!
si tu veux un lien avec un ancien journaliste garou fais moi signe.