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 Adriel • Puisqu'il faut un titre...!

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Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Vide
MessageSujet: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeSam 5 Déc - 14:34

Déclinez votre identité, étranger...
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    Nom, Prénom(s) : Adriel Ikar Zacharia Bridgestone. Nom à rallonge ? Il faut croire que le paternel ne voulait oublier aucun ancêtre.
    Age : 26 ans
    Lieu de naissance : Mexico, Mexique.
    Emploi ou occupation : Jardinier du Grumbles Park, mais aussi accessoirement réparateur de tout et de rien, le toit de l'église, un lavabo bouché, bref, du moment qu'on lui demande gentillement...



Votre vie semble fort captivante !
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    Anecdote : L’histoire ne fait que commencer. Ou plutôt ne faisait. Je suis né au Mexique, alors que ce pays était encore en pleine expansion et non encore écrasée par la grande Amérique. Mon père était un Gallois plein d’ambition, qui venait a l’assaut de cette terre nouvelle qui lui semblait prospère. C’est ici, qu’il a rencontré ma mère. Riche héritière d’une famille de souche espagnole, une magnifique femme, comme jamais il n’avait pu en voir avant. Je peux dire avoir vécu une enfance relativement heureuse, même si mon père commençait de plus en plus a s’impliquer dans son travail, au lieu de sa famille. Après tout… je suis un garçon de bonne famille, ce qui sous entendait, a l’époque, une éducation appropriée. Je ne vous parlerais pas de ces longues heures passées a écouter mon maître de garde, comme on se doit de les appeler, m’enseigner l’anglais, le français, le russe et l’italien, les mathématiques, l’astronomie, et toutes ces choses qui devaient en faire baver au monde extérieur. Je suis fils unique. C’est l’excuse que je me répétais pour faire passer ma rancœur. Alors j’ai appris, encore et encore. Et je n’ai rien dit, toujours. Du moins, jusqu’à ce qu’il commence a devenir violent. Lui, ce Gallois que j’avait toujours voulu prendre en modèle, commençait a devenir le monstre qu’il avait fuit: son propre père. Violent, lui aussi. Et j’ai n’ai pas laissé courir, je ne pouvais pas, pas lorsque l’on voit sur le visage de sa mère des larmes perler, et son regard qui vous dit de partir, et vous fait comprendre qu’elle préfère encaisser les coups plutôt que de vous voir les prendre. Et puis il y eu ce jour, alors que je venais de recevoir ma lettre d’admission a la prestigieuse faculté Américaine Harvard.

    Lorsque je suis arrivé dans le salon, il était déjà là, un verre de bourbon a la main, et elle, assise dans le canapé, sans bouger. En y réfléchissant bien, c’est même a se demander si elle n’avait pas arrêter de respirer, pour ne pas qu’il lui reproche quoi que ce soit de plus. Je leur ai annoncé la nouvelle, et ma mère c’est levée. Je ne sais pas pourquoi, je ne cherchais pas a savoir d’ailleurs, mais il l’a prise par l’épaule, et avec une force surhumain, l’a renversée au sol, lui assénant un coup de pied dans les côtes. Alors, il m’a regarder et a ajouté, avant de boire une nouvelle gorgée, que c’était le strict minimum. Ma mère a voulut protester, mais elle n’a rien eu le temps de dire, il venait de lui jeter son verre a la figure. Non pas le contenu, puisqu’il était au trois quart vide, mais le verre, en lui-même. Je me rappelle du bruit du cristal heurtant son crâne. Et de son sourire, a lui. Alors, je ne sais pas vraiment pourquoi, ni comment, mais je lui ai tordu le cou. Fort. Longtemps. Je n’aurais jamais cru qu’avoir une telle rage était possible. Mais ce jour là, j’ai commis mon premier meurtre. Ma mère m’a couvert. De toute manière, nous étions trop influent pour qu’il se passe quoi que ce soit. Alors, une chasse a l’homme a été lancée pour trouver le coupable, en m’excluant, complètement. J’avais dix-sept ans.

    Alors, j’ai quitté le pays, et je n’ai pas été à Havard. Beddgelert m’appelait, c’était le village de mon père, mais surtout de sa famille. J’ai commencé une nouvelle vie chez ma tante, une famille simple. En quelques années, j’ai complètement perdu mes attitudes de petit bourgeois, et je me suis fondu dans la masse. Perdu mon accent, mon bronzage et mon allure proprette. J’ai suivit les traces de mon oncle, découvrant les simplicités du monde. Avec toujours, dans le fond, le souvenir de ma mère. Parce qu’elle n’a pas pu partir, elle. Parce que sa condition, sa famille, et mon acte, avait rendus impossible pour elle le fait de venir avec moi. Que j’ai vu son sourire à l’aéroport, mais la peine, dans ses yeux. Mais que je ne peux pas rentrer… plus maintenant. C’est trop tard. Voilà mon histoire. Celle que personne ici ne sait, pas même mes cousins et cousines, de qui je suis proche. Pas même mes amis, personne. Comment voulez vous expliquer au monde un acte comme celui-ci, et la lâcheté de l’abandon. Et puis, comme punition, il y eu la morsure… il faut croire que je n’étais pas fait pour cette vie. Je suis peut être né à la mauvaise époque ? Problème de timing. J’en sais rien. Et maintenant ? L’errance… et elle.


    Circonstances de la transformation : « Ce n’est pas forcément prudent d’être dans les rues à cette heure…
    - C’est bien pour ça que j’allais entrer dans un bar ! Tu m’accompagnes, Adriel ?
    - Je déteste qu’on m’appelle par mon prénom alors que je ne connais pas la personne qui le prononce.
    - Je peux dire autre chose, si tu veux. Peut m’importe, du moment que tu m’offres un verre: j’ai besoin, d’un verre. »

    Elle avait une assurance a tout casser. Un regard audacieux, une nonchalance à peine dissimulée, et, comme j’ai pu le constater après, une descente d’enfer ! Je le lui ai offert, son verre. Après tout, je n’avais rien à perdre, et j’en avais bien besoin, moi aussi. Alors autant le prendre en bonne compagnie. J’ai appris son nom, cette soirée là, mais en toute fin, seulement. Norah. Beddgelert avait beau être un petit village de campagne, jamais je n’avais vu cette blonde dans les parages, mais casser le mythe en lui demandant plus de détails me semblait totalement interdit. Et puis ce n’était qu’un soirée, après tout.

    « Ce n’est pas très prudent d’être dans les rues à cette heure…
    - Laisse moi deviner: tu es folle amoureuse de moi et donc, tu t’es sentie obligée de me suivre comme n’importe quelle groupie de base.
    - Rêve !
    - Un verre ?
    - Un seul. »

    J’aurais peut être dû écouter. Non, j’aurais, dû. Mais comment savoir que cette blonde plantureuse avait déjà tout prévu, que dans sa tête, le plan était claire ? Comment aurais-je pu le voir venir, je vous le demande. Moi qui ne croyais surtout pas à ces histoires de monstres assoiffés de sang… j’allais être servi. Parce qu’elle n’avait prit qu’un verre, comme prédit. Qu’elle avait collé ses lèvres sur les miennes avec une avidité que je n’avais jamais connu avant. Que de toute manière, les rues étaient déjà sombres, alors une ruelle parmi tant d’autres, quoi de plus normal ? Vous savez, c’est comme dans les films, quand on le voit de loin, ça parait toujours bien plus louche. Et puis il y a cette petite fumée que les acteurs principaux franchissent toujours, mais qui n’annonce jamais rien de bon. Je n’ai pas cherché a comprendre, j’étais dans ma période « un soir, une fille », et Norah ne semblait pas chercher plus. Alors oui, ça aurait pu continuer là, et se terminer, là, seulement allez savoir pourquoi, nous nous sommes retrouvez chez elle, à la lumière de la lune naissante. Et lorsque l’acte de chair fut consumé, elle consuma ma chaire, avec le plus grand plaisir.

    Aux premiers instants, on ne comprend pas vraiment cette sensation désagréable qui s’abat sur nous. Ca fait mal, certes, mais c’est tellement inconnu qu’il est difficile de mettre un nom sur ce mal. Et puis on sent quelque chose emplir nos veines, et changer, peu à peu, ce que nous étions. Du moins moi, je l’ai ressenti comme ça. Je commençais a me dégager, alors elle m’assigna un violent coup de poing qui me coula au lit, inconscient. Je n’aurais jamais cru quelques minutes plutôt que la passion de cette femme la rendrait si forte. Je ne me suis réveillé qu’au petit matin, et elle était là, une tasse fumante à la main, regardant le soleil dans le ciel, ma chemise sur le dos. C’est une image qui restera toujours gravée en moi, celle d’une beauté répulsive, et d’un sourire assassin de sincérité. Elle prit une voix calme pour tout m’expliquer. Du jour où elle m’avait aperçu, à celui où elle avait prit conscience de l’importance de créer une fratrie. Du rejet des autres à sa nature. Et mon rôle, surtout, dans l’histoire. La folie lui avait fait croire que j’étais parfait pour être celui qui perdurerait a ses côtés, lorsque les autres mourront, un par un. J’avais été sa proie, son obsession, sa chose, et je n’avais rien demandé.


    Comment réagit-il quant à sa nouvelle nature ? J’ai fuit, je ne voulais pas y croire. Mais, partout où j’allais, Norah me retrouvait, inlassablement. Et plus j’essayais de m’en débarrasser, plus elle s’énervait. Elle était folle, oui, aucun doute là-dessus. Pas une simple image, un diagnostic sérieux l’aurait a coup sure assuré. Et elle voulait que j’accepte. Fut alors venu le temps de la première transformation. Elle était là, du début à la fin, et elle m’a attaché. J’étais bien trop faible encore pour me défaire de mes chaînes, et bien trop faible aussi pour être conscient de quoi que ce soit, mais si je dois reconnaître une chose à Norah, ce serait son dévouement. Alors, j’ai accepté, parce que je n’avais pas le choix. Seulement, très peu de temps après, une balle en argent traversa sa poitrine. Je retrouvais son corps sur le seuil de sa porte, sans vraiment comprendre, encore une fois. C’est à ce moment là que je me suis rendu compte à quelle point je la haïssais. D’avoir encore ajouter un peu plus de misère à une existence déjà bien fourni, je n’arrivais pas à comprendre pourquoi elle s’était acharnée sur moi de la sorte. C’était comme un mauvais roman, beaucoup trop improbable, beaucoup trop gros. Tout ça n’avait aucun sens. Je n’ai d’ailleurs toujours pas compris. Mais les réponses se sont envolée ce soir de septembre. C’était il y a un an. Depuis, tout les soirs de pleines lune, je m’attache a ces chaînes, en pensant à celle qui aurait du être une simple fille d’un soir. Et à la réplique idiote que j’avais pu lui sortir… non, ce n’était vraiment pas prudent de sortir, si tard…



Bien ! Et à part ça ?
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    Pseudo : Kay
    Célébrité de l'avatar : Jared Padalecki
    Commentaires ? Waouh Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 274945


Dernière édition par Adriel Bridgestone le Dim 6 Déc - 3:14, édité 6 fois
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Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Vide
MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeSam 5 Déc - 14:35

Mais on aimerait vous connaître un peu plus...
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Particularités (habitudes, manies, goûts) :

    - Tout les matins au réveil, je bois un… truc, à base d’œufs, de lait, et de cacao, histoire de cacher un peu le goût. Ne me demandez surtout pas pourquoi ou comment, j’ai vu ça un jour dans un film, ça paraissait cool, je l’ai fait, et c’est resté. Même si tout les matins, c’est le même rictus !

    - Je suis allergique au café. Impossible pour moi de vous inviter à aller en boire un, donc, même si je trouve bien souvent des alternatives. Mais c’est a savoir: une seule tasse, et c’est presque l’œdème de Quick assuré. Autant vous dire: pas vraiment efficace, pour un premier rendez vous, ou un premier quoi que ce soit d’ailleurs. Alors non, merci, pas de café.

    - La chanson Roxanne, de Moulin Rouge, « My name is Maximus Desimus Meridius, commander of the armies of the north, general of the Felix legions, loyal servant to the true emperor, Marcus Areillius. Father to a murdered son, husband to a murdered wife, and I will have my vengeance, in this life or the next. » réplique du film Gladiator, le poème Parfum exotique de Baudelaire, les courbes de la Venus de Milo, Mort d’un commis voyageur, les rues de Mexico, la définition du mot Papillon, la filmographie de John Malkovich, et encore beaucoup d’autres… voilà des choses que je connais par cœur.

    - Je suis un inconditionnel fan de musique. Et je dois avouer que j’aime pas mal de chose, je pourrais passer des heures à écouter un requiem de Mozart, mais aussi un bon vieux cd de Led Zeppelin, la face B de l’album Abbey Road, certaines plages de Keanye West, Les Stones, The Who, et bien d’autres. Je collectionne les vinyles, d’ailleurs, c’est bientôt Noël, alors… et puis, c’est l’une des rares choses qui arrivent a me calmer… surtout les veilles de pleines lune.

    - Je parle très peu. La plupart des gens me prennent pour un être étrange, et dans le fond, ils n’ont pas vraiment tord. La plupart me prennent aussi pour quelqu’un de simplet, alors que je suis plus instruit que la plupart de ces petits campagnards, mais là n’est pas la question. Je connais la septième symphonie de Beethoven, la disposition exacte des planètes dans le ciel, la théorie du nombre d’or et l’Odyssée d’Homer… mais je n’ai pas besoin de m’en vanter. Je n’ai pas envie que les gens se posent des questions a mon sujet, je n’ai surtout pas envie de devenir une bête de foire. Alors qu’ils croient ce qu’ils veulent, je continuerais de regarder le ciel pour regarder les étoiles, je continuerais de lire, d’écouter et d’apprendre. Mais seul. Simplement. Le reste importe peu.

    - J’ai eu une période végétarien, que j’ai vite stoppé quand j’ai vu que les gens jasaient trop autour de moi. Mais je ne suis pas difficile. Je n’aime pas les choses jaune, voilà tout. Maïs, citron, Pastis, toute ces choses me donnent envie de vomir. C’est loin d’être un caprice, c’est sûrement viscéral. Essayez donc de m’en faire avaler !… en attendant, je suis un grand amateur de gin, pas vraiment de bière et seulement à l’occasion de whisky. Et je bois trop. Je deviens, sur ce point là, exactement comme mon père, ce salaud. Et c’est par sa faute, si j’en suis réduit a boire pour me sentir un peu mieux. C’est lui qui donne l’exemple, non ? Et lui qui donne le mal-être, aussi…

    - J’ai été amoureux. Une fois, seulement, dans ma vie. C’était bien avant tout ça, bien avant que je sache que la vie toute tracée qu’on m’avait décrit allait virer de bord. Elle s’appelait Carmen, et elle était la plus belle des filles de bonne famille que j’ai pu voir. Nous n’avions pas seize ans, mais c’était comme si tout les détails n’avaient pas d’importance. Comme si nous seuls comptions. Seulement, comme dans toute belle histoire, la notre eux une fin. Son père accepta un poste au sud du Brésil, et la voilà partie pour une nouvelle vie… ça peut paraître insensible, mais c’est un souvenir précieux que je garde bien enfoui. Le souvenir d’un sentiment singulier, farouche, tout comme elle l’est. Soleen. Oui, je sais… ça n’a aucun rapport…

    - Elle est la seule et unique personne que j’ai transformée. Dans mes souvenirs les plus lointains, je n’ai jamais tué qui que ce soit. Du moins, pas comme ca. Seulement, aucun moyen d’être sure de nos agissements durant les premières transformations, pour autant… non, je me suis toujours dis que personne ne devrait souffrir par ma faute. Mais quand je l’ai vu… elle devait être mienne, comme Norah avait fait de moi sa chose. Parce qu’elle lui ressemblait étrangement, dans sa façon de me répondre, et parce que je ne me contrôlait pas, à cause de l’alcool, et à cause d’elle. Encore une fois, ne me demandez pas d’explications, c’est assez difficile pour moi de comprendre. Pourquoi avoir transformé une personne dont on sentait le lien invisible qui la relie a vous ? Pour la garder, indéniablement ? Égoïsme… mais ces choses là ne se contrôle pas. Alors je l’ai mordue. Et je m’en veux, parce qu’elle ne le méritait pas. Et je m’excuse, mais rien n’y fait. Soleen est une louve, et le fautif vous parle. Meurtrier, bourreau des temps modères, c’est ça, mon destin ?… connerie. Et je me pose bien trop de question.


Dernière édition par Adriel Bridgestone le Dim 6 Déc - 2:31, édité 6 fois
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Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Vide
MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeSam 5 Déc - 14:36

Bienvenue sur le forum et merci de ton inscription.
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeSam 5 Déc - 14:37

    Bienvenue parmi nous I love you
    Bonne continuation pour la suite de ta fiche
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeSam 5 Déc - 14:37

Oh il est comme l'homme à tout faire de DH Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 825427
Bienvenue Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 480753
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeSam 5 Déc - 14:40

    Ouais, je trouvais que ca lui allait bien Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 528674
    Merci a vous tous ! Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 274945
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeSam 5 Déc - 14:44

JARED Cool
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche Wink
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeSam 5 Déc - 14:59

JARED Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 274945
Si tu veux tu peux etre mon homme à tout faire à moi Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 792213
BIENVENUE. Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 732558
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeSam 5 Déc - 19:24

    Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche.
    Je te réserve Jared.
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeDim 6 Déc - 0:48



    BIENVENUE, merci encore omg Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 274945 Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 274945 Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 274945

    EDIT : J'adore le début de ta fiche omg Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 274945
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeDim 6 Déc - 3:17

    Merci encore beaucoup, a vous tous, pour votre accueil Smile
    J'ai bâclé la transformation et la réaction, désolée, mais il se fait tard pour mon cerveau fatigué ! --'
    Alors je pense quand même avoir fini, mais je m'excuse si ce n'est pas très clair, et pas très original...
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeDim 6 Déc - 3:29

    Bienvenue, je n'avais pas vu que j'étais passée à côté de ta fiche scratch
    Cela dit je te valide I love you Et bon jeu =)
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeDim 6 Déc - 13:23

    Tu y étais passée Razz
    Mais merci, encore une fois !
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitimeDim 6 Déc - 13:39

    Ha oui effectivement j'ai été trop vite pour parler Laughing
    Adriel • Puisqu'il faut un titre...! 257692
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MessageSujet: Re: Adriel • Puisqu'il faut un titre...!   Adriel • Puisqu'il faut un titre...! Icon_minitime

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