Sujet: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:28
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▬ Arwen Sherbovsky Age ;vingt-neuf ansDate et lieux de naissance ;née le premier avril à LondresNationalité ;anglaiseorientation sexuelle ;bisexuelleTrait de caractère ;impulsive, têtue, obstinée, courageuse, mystérieuse, désordonnée, maligne, joueuse .Occupation ;Professeur de françaisGroupe ; habitants.
Crache le morceaux.
Je ne suis pas bordélique, je suis pire. Je ne remets jamais ce que j'ai pris à sa place, j'entasse les objets, ne range que très rarement et laisse tout trainer derrière moi. Et c'est aussi comme cela lorsque je vais chez les autres. J'ai la fâcheuse habitude de laisser ce que j'ai dans la main à l'endroit où je m'en sers pour la dernière fois. Ainsi, si je termine un livre, je peux très bien le déposer sur la table basse du salon, au dessus de la pile qui s'est précédemment formée. Il n'y a que mes vêtements qui sont étonnement bien rangés ainsi que mes chaussures. Chaque paire de chaussure que je possède dispose d'une petite boite de rangement avec la photo de la paire dessus. Je ne laisse jamais trainer mes habits propres et lave méticuleusement les sales. Je ne suis pas une addict de la mode, je ne rechigne pas à sortir en jean tee shirt mais mets un point d'honneur à ne pas laisser trainer mes vêtements, en particulier mes dessous.
Je suis autant attaché à ma voiture qu'un homme peut l'être. C'est mon petit bijoux, ma princesse. Bon, je reconnais, je l'ai légèrement volée. Enfin, le propriétaire est décédé donc je n'ai fait que subtilisé une voiture sans propriétaire sur un parking. Bon, j'avoue que j'ai aussi falsifié les documents pour les mettre à mon nom mais ça fait tellement longtemps qu'il y a prescription non ? Toujours est-il que le premier qui la raye se prend un bon coup de pied la où je pense. C'est une Audi que je ne troquerais pour rien au monde, j'aime trop la vitesse pour ça. Et j'adore voir la tête des hommes que je double quand il se rendent compte que c'est une femme au volant.
Je suis assez grossière. Je le reconnais. J'ai tendance à jurer toutes les trente secondes. C'est plus fort que moi, ça part tout seul. Et pourtant, ce n'est pas faute d'avoir essayer d'y remédier. Et je ne sais pas d'où ça vient. C'est vrai, je mange proprement, je suis plutôt à cheval sur les bonnes manières ... Une vraie énigme.
Je ne suis pas vraiment du genre à faire des démonstrations d'affection en public. Je déteste voir des gens se câliner dans la rue ou s'embrasser et je ne risque pas de faire pareil. Pourtant, dès que je suis en colère, je pleure. Des larmes de rage sans doute mais je n'arrive que très rarement à les retenir. Ce qui me met naturellement encore plus en colère que je ne l'étais déjà. Et dans ces cas là, mieux vaut pour vous être assez dégourdi pour quitter la pièce parce que je peux piquer des colères impressionnantes et en très peu de temps.
Je chante comme une casserole. Le plus souvent j'évite même. Peu de personne m'ont en réalité déjà entendu chanter parce qu'en plus je ne prend aucun plaisir à le faire. J'ai conscience que c'est faux et ne me torture pas pour changer. C'est la vie comme on dit.
T'es hors jeux.
C'est quoi ton petit nom?Prénom et/ou Pseudo. Quel est le sexe fort?Le sexe fort c'est celui qui peut faire à manger tout en parlant au téléphone et à son homme qui regarde ça, ébahit Ta fausse identité.Anna Torv Sans rancune.J'étais sur la première version et je suis toujours aussi admirative C'est votre dernier mot?j'aime angelina jolie sur le header
Dernière édition par Arwen Sherbovsky le Lun 29 Nov - 3:42, édité 5 fois
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:29
♠ Avoue et t'as la vie sauve.
Spoiler:
Dans cette partie nous vous demandons au moins une anecdote sur l'histoire de votre personnage, avec bien entendu le lien qu'il entreprend avec le contexte du forum ; par exemple son avis sur HFTTW, s'il connait la vraie nature de la société, s'il a des liens quelconques avec les membres, ou les enfants des victimes. Tournez ça comme vous le voulez, tant que l'on retrouve dans votre texte une trace du contexte.
Mon dieu faites moi un oiseau que je puisse m’envoler loin loin d’ici. ✿✿
« Papa, tu ne devineras jamais ce que j’ai fais aujourd’hui à l’… » Un regard de mon père suffit à me faire taire. Attablé à la table du salon ensevelie sous un tas de feuilles annotée ou de papiers journaux, il ne me lance qu’un regard noir de ceux que l’on ne discute pas. A ses côtés, ma sœur, mon aînée d’un an seulement semble aussi de connivence bien qu’elle ne se donne même pas la peine de tourner la tête vers moi. Je suis devenue invisible, aussi invisible que je pourrais l’être si j’étais réellement dotée de pouvoirs magiques. Quelques fois je le voudrais, cela donnerait une bonne raison à ma famille de ne pas faire attention à moi. D’autres fois, lorsque tout semble se liguer contre moi, je souhaite être à la place de ma mère, loin, très loin d’ici, mille pieds sous terre …
Cela fait presque deux ans aujourd’hui qu’elle a été sauvagement mutilée avant de perdre la vie sur le chemin de l’hôpital. Chacun gère le deuil à sa manière, au lieu de se plonger dans l’alcool mon père s’est plongé dans ce qui lui semblait le plus juste, la vengeance. Il souhaite absolument trouver qui lui a infligé ça et par quels moyens. Je le comprend, je le comprend tellement, plus que ce qu’il pourrait penser mais je suis plus réaliste. Aucune vengeance, aucun meurtre ne pourra me la ramener, cela ne ferait qu’ajouter une mort de plus au tableau. Et des morts, mon père semble en avoir trouver plus que de raisons. Il voit des corrélations où il n’y en a pas, extrapole les faits, réinvente l’histoire … J’ai essayé de l’aider au départ, j’ai cru que ça l’aiderait à surmonter la douleur des premiers jours mais je sais aujourd’hui que j’ai eu tord. Cela n’a fait qu’empirer sa frénésie, sa soif de connaissance et son degré de paranoïa. Mon père ne sort plus de chez nous, il se contente de rester cloîtré derrière nos quatre murs. Il attends sagement que ma sœur rentre du lycée avec le journal pour avancer de nouvelles hypothèses, une théorie sans queue ni tête qui finira, fautes de preuves tangibles dans une poubelle du commissariat. Car bien entendu, il travaille par pur esprit de vengeance mais a conscience qu’il ne peut lutter seul, surtout depuis qu’il ne sort plus. Ainsi il envoie chaque semaine une lettre au shérif de la ville relatant les nouveaux faits. Je crois qu’il ne se rend pas compte de l’image qu’il véhicule en agissant de la sorte. Il est devenu le fou du village. Bien que tout le monde ait conscience de la perte subie, chacun aspire à dire qu’il a tout simplement perdu la tête. Je n’ai jamais autant détestée la vie qu’en ce moment. Mon père, ma sœur qui l’encourage vaillamment, le lycée et toutes ces personnes avides de nouveaux ragots à se mettre sous la main. La perte de ma mère a mené à l’implosion intégrale de ma famille. Chacun évolue dans sa sphère privée ne se souciant que peu du reste du monde. Et aujourd’hui, il faut que ça cesse.
« PAPA ÇA SUFFIT MAINTENANT ! » Mon cri ne le fait pas même sursauter ce qui m’oblige à employer la manière forte. Je jette mon sac au sol et parcourt les quelques mètres qui me séparent de la table avant de balayer de quelques revers de bras tout ce qu’il s’y trouve tout en m’époumonant. « MAMAN EST MORTE ! MORTE tu comprends ? Je sais que tu as mal, je sais que tu souffres mais ça ne résoudra rien. Regarde ce que tu fais, tu nous détruis à petit feu. Tu ne sors plus, tu manges à peine, tu ne dors quasiment pas. Ça ne la ramènera pas, ça ne fait qu’aggraver les choses. Ne nous laisse pas devenir des étrangers, ne nous laisse pas mourir à notre tour. » Essoufflée, je lève les yeux pour oser affronter son regard lorsque sa bat s’abat violemment sur me joue à m’en faire tomber au sol. Les larmes aux yeux, mes deux mains plaquées sur l’impact douloureux, je croise son regard avant qu’il ne prenne la parole. « Ne t’avises plus jamais de redire une chose pareille. Je te l’interdis. Solveig ramasse. » Implorant ma sœur du regard, des larmes pleins les yeux, elle se contente de détourner la tête et de s’empresser d’exécuter les ordres. Douloureusement éconduite. Je me relève rapidement non sans maudire les deux seuls membres de ma famille qu’il me reste et pars m’enfermer dans ma chambre afin de pouvoir laisser libre court à mes larmes.
✿✿ Vous avez des souliers de bal et les pieds légers moi j’ai le cœur lourd. ...
« Sherbovsky FBI j’ai quelques questions à vous poser. » L’homme derrière la porte l’entrebâille un peu plus tandis que je m’empresse de ranger ma carte dans mon blouson. Il me regarde de haut en bas d’une manière on ne peut plus cavalière mais je laisse passer et me fraye un chemin entre lui et le chambranle pour me mettre au chaud. L’hiver joue son rôle et enneige la contrée et le froid gèle tout ce qu’il peut atteindre, même les souvenirs. Une fois à l’intérieur, je ne me fais pas prier pour pénétrer plus en avant de la veille bâtisse et découvre avec stupéfaction les vestiges de mon enfance. J’ai quitté la maison à dix huit ans, peu à près le suicide de mon père finalement trop endeuillé pour pouvoir survivre. Revenir ici fut une décision que je n’étais que peu fière d’avoir prise mais il le fallait, pour lui mais surtout pour elle puisque ma sœur avait finalement elle aussi périe dans des circonstances indéfinies. Je ne suis pas friande des coïncidences et beaucoup trop de faits se recoupent pour passer à côté. C’est donc la raison de mon retour aux sources, et notamment de ma présence ici, dans mon ancienne demeure. Pratiquement rien n’a changé, toujours les mêmes meubles aux mêmes emplacements, même la tristesse ne semble pas avoir quitté les lieux. Le nouveau propriétaire des lieux s’avance et s’arrête à mes côtés, observant lui aussi la pièce en silence, jusqu’à ce qu’il le brise. « C’est vous n’est ce pas ? La petite Arwen, celle qui habitait ici dans la deuxième chambre ? » D’un mouvement brusque je me tourna vers lui au moment où il fait de même, nos corps sont trop proches pour respecter la bienséance mais aucun de nous n’esquisse le moindre mouvement. Un duel ardent et silencieux s’engage qu’il perd avec fair-play en baissant les yeux, conscient de la teneur de ses questions. Se repostant de sorte à ne plus m’avoir dans son champs de vision, il reprend plus posément. « Et vous venez pour … ? » Je ne prends aucun détour avant de répondre d’un ton neutre « Votre femme. » Comme si cette maison étai dotée d’un mauvais karma, la femme de Fortenburry avait elle aussi disparue après avoir été mutilé. Retrouvée non loin de là aux abords de la forêt il y a quelques mois, son meurtre avait rejoint la pile des nombreux assassinats non élucidés. Je finis par pénétrer dans le salon pour ôter mon manteau et prendre place sur le canapé. Je ne suis pas du FBI, j’ai fabriqué une fausse carte ce matin pour avoir une raison de venir ici et en croisant son regard lorsqu’il me rejoint, je comprends qu’il ne me donnera aucune information utile et que tout ce cirque ne rime à rien. Pour autant je reste là une grande partie de l’après midi. Pour diverses raisons plus ou moins valables mais la seule étant celle-ci, mon père a finalement gagné, il a réussit à m’embrigader dans toute cette histoire. Et pour la première fois depuis la mort de ma mère, alors qu’il n’est même plus de ce monde, je me sens plus proche de lui que je ne l’ai jamais été.
✿✿ L'homme est un loup pour l'homme ... Mais surtout pour la femme.
« Fais comme chez toi. » « Bonne journée. » Au moment où la porte d’entrée claque, je suis déjà sur pieds prête à dévaler les escaliers ce que je fais sans plus tarder. Ouvrant la porte de son bureau à la volée, je m’y engouffre rapidement et commence à fouiller ses affaires. Ce que je cherche ? Je ne sais pas, n’importe quoi qui pourrait me confirmer qu’il est pour quelque chose dans la mort de sa femme, ou dans celui des autres victimes. Il se renferme trop à chaque fois que j’aborde le sujet pour être honnête, il me cache quelque chose c’est certain. Et je suis prête à tout pour la découvrir, quitte à coucher avec celui que je soupçonne d’être le meurtrier de ma sœur, de ma mère et indirectement de mon père. Il a su dès la première seconde que je n’étais pas du FBI mais m’a tout de même raconté son histoire, tout du moins sa version des faits. Depuis nous nous sommes vus de nombreuses fois, sans pour autant évoquer ce sujet qui semblait presque incorrect.
Un bruit de moteur se fait entendre, une porte claque, des bruits de pas se rapprochent, mon sang ne fait qu’un tour. Je referme vivement le tiroir que je venais d’ouvrir avant de courir vers la porte et d’arriver essoufflée à la cuisine alors qu’il venait d’ouvrir à nouveau la porte. Tout sourire, je me tourne vers lui et attrape une tasse pour sauvegarder les apparences. Il ne répond qu’après m’avoir longuement étudié. Dans ma précipitation, je n’avais pas jugé utile de me vêtir et portais donc seulement mes sous vêtements de la veille. Rougissant devant tant d’éloquence je balbutie quelques mots comme quoi je ne suis pas du tout naturiste mais que l’été est là et que j’aime profiter de la chaleur. Un sourire déforme ses lèvres avant qu’il ne m’explique la raison de son retour impromptu. « J’ai oublié un dossier important, je repars immédiatement. Même si … » Rougissant de plus belle, je me détourne et me fais un café bien serré, je le mérite. Je l’entends s’éloigner ce qui m’arrache un léger soupir qui ne dure qu’une demi seconde, jusqu’à ce que sa voix me parvienne. « Mon bureau n’était pas fermé ? » Mon sang se glace et je peux être plus heureuse qu’il ne soit pas dans la même pièce que moi. Reprenant plus ou moins contenance, je réponds d’une voix beaucoup moins assurée que je ne le désirais. « Hum je ne sais pas, tu as peut-être laissé ouvert en partant. » Il revient l’air sceptique mais passe dans la cuisine pour laisser un ultime baiser sur ma joue. Une fois qu’il quitte de nouveau la maison, je me laisse glisser au sol ne pouvant guère plus contenir mes tremblements. Je ne sais pas ce que je fais ici mais une chose est certaine, je ne pourrais m’éterniser sans avoir de réponses concrètes, quitte à devoir les lui arracher par la force …
Dernière édition par Arwen Sherbovsky le Lun 29 Nov - 17:26, édité 14 fois
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:33
Un petit bienvenue officiel cette fois-ci.
Pour l'avatar je ne me prononcerai pas en sachant que les deux actrices citées ne sont pas vraiment dans mon Top..
BRHAPS
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:34
EEMMMMMAAAA Je rentre du ciné, et je l'ai trouvée tellement choute-adorable
Bienvenue (ou rebienvenue, plutôt) sur le forum Tu jouais qui ?
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:36
MERCI vous deux C'est vrai qu'Emma est cou mais au final elle fait un peu trop jeune donc j'hésite comme d'habitude mais je vais finir par arrêter un choix et que il sera fait je vous avertirais Finalement la bataille s'est transféré entre Jennifer Garner, Anna Torv ou Rachel McAdams, ça va change vite chez moi Et j'étais Solveig avec DAW.
BRHAPS
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:37
Je me rappelle Dans cette seconde guerre, je vote Anna ou Rachel En tout cas prends ton temps, on réservera quand ton choix sera arrêté
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:38
Bon ba là je vote pour les trois en même temps. Mais bon, je t'encouragerais bien à garder Anna du coup..
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:41
Bon ben du coup je vais garder Anna, ça m'évitera de me faire dix-huit mille pages d'avatars et puis je ne l'ai jamais joué. Merci pour les avis en tout cas
BRHAPS
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:42
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:43
C'est malin, j'ai tellement hâte de voir ton personnage maintenant..
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 1:49
MERCI Et je me hâte d'en faire quelque chose alors !
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 3:42
Désolée du double post mais c'est juste pour annoncer que j'ai terminé ma fiche
BRHAPS
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 3:50
Citation :
Et pour la première fois depuis la mort de ma mère, alors qu’il n’est même plus de ce monde, je me sens plus proche de lui que je ne l’ai jamais été.
J'aime C'est magnifiquement bien écrit, et l'histoire est superbe. J'ai hâte de voir tout ça en liens et en RP, réserve moi un lien en tout cas Je valide avec grand plaisir, tu es la première membre officiellement validée de Gravity II .
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Sujet: Re: « friends don't let friends drink friends » ϟ ARI Lun 29 Nov - 3:54
OH merci beaucoup ! Je te réserve ce lien avec plaisir et suis honorée de remplir le rôle du premier validé !